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N°71 Petite Champagne Brut de Fût Cognac Grosperrin
289,00 €
TTC
Mise en bouteilles en Novembre 2021. Série limitée à 306 bouteilles ! 70 cl à 52,2 % vol.
Ce Cognac provient d'une vente aux enchères effectuée en janvier 2019 au profit de Médecins du Monde et d'Action contre la Faim. Ces cognacs avaient été donnés à ces deux associations par André Bertandeau, viticulteur à Salignac-Sur-Charente, décédé en décembre 2016. Déporté au titre du STO en Allemagne en 1942, à l'age de 20 ans, il témoigna régulièrement de ce qu'il avait vu et vécu dans les camps, en espérant que l'histoire "ne bégaie pas".
Tout au long de sa vie, il donna les maigres profits de sa petite propriété aux associations et à sa mort, il légua l'ensemble de ses biens, propriété, vignes et stocks, à ces ONG afin d'aider celles et ceux qui souffrent des guerres et de la déportation.
Très touchés par l'histoire, par l'humanité et par la discrétion de cet homme, et par la qualité des ses eaux-de-vie, nous avons acheté une grande partie de son stock.
Descriptif
Robe vieil or.
Nez élégant et fin, fruits confits, mangue séchée, "minéral chaud", bouquet de fleurs séchées, rose. Un beau montant, net et droit, à la fois puissant et fragile, dense.
En bouche, l'attaque est affirmée, ciselée tant elle est précise, les notes plus chaudes et tanniques viennent ensuite, délicatement mais avec puissance.
C'est un cognac mûr, apaisé mais très présent, peu démonstratif mais tout en puissance.
Finale longue, parfumée, un grand cognac, toujours en devenir !
Détails du produit
- Marque
- Grosperrin
- Degré
- 52.2 °
- Contenance
- 70 Cl
- Terroir
- Petite Champagne
Mise en bouteilles en Novembre 2021. Série limitée à 306 bouteilles ! 70 cl à 52,2 % vol.
Ce Cognac provient d'une vente aux enchères effectuée en janvier 2019 au profit de Médecins du Monde et d'Action contre la Faim. Ces cognacs avaient été donnés à ces deux associations par André Bertandeau, viticulteur à Salignac-Sur-Charente, décédé en décembre 2016. Déporté au titre du STO en Allemagne en 1942, à l'age de 20 ans, il témoigna régulièrement de ce qu'il avait vu et vécu dans les camps, en espérant que l'histoire "ne bégaie pas".
Tout au long de sa vie, il donna les maigres profits de sa petite propriété aux associations et à sa mort, il légua l'ensemble de ses biens, propriété, vignes et stocks, à ces ONG afin d'aider celles et ceux qui souffrent des guerres et de la déportation.
Très touchés par l'histoire, par l'humanité et par la discrétion de cet homme, et par la qualité des ses eaux-de-vie, nous avons acheté une grande partie de son stock.