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N° 24 "Trésor" Grande Champagne Cognac Grosperrin
1 173,00 €
TTC
C'est la veuve d'un ancien courtier, aujourd'hui décédé qui a vendu à Jean Grosperrin ces très vieilles Grande Champagne. Son mari, qui exerçait encore il y a une trentaine d'années, avait la réputation d'être tenace. De cette manière, il avait acquis des stocks de Cognacs qu'il achetait dans son village et les environs puis qu'il revendait ensuite aux négociants.
Sa passion portait sur les Cognacs anciens qu'il accumulait, barrique après barrique, tels des trésors. Il ne permettait même pas à sa femme, institutrice, ni même à ses enfants, jeunes puis devenus adultes, de pénétrer dans ce sanctuaire dont il gardait jalousement la clef.
Ce n'est qu'au stade ultime de sa vie, quand son fils dû prendre en main la situation, que ses proches ont découvert ce qu'il avait accumulé depuis tant d'années. Dans un chai qui était autrefois une grange ou il avait fait mettre d'épaisses portes métalliques se trouvaient environ une quinzaine de tonneaux et de fûts dans lesquels des lots de très vieux Cognacs de Grande Champagne. Chaque tonneau portait des inscriptions avec l'origine du produit, la quantité achetée, le degré, le volume et l'année de la récolte.
Mais aucune archives ! C'est à partir de ce moment que son épouse a pu profiter du commerce de ces eaux-de-vie !
Descriptif
Notes de dégustation :
Couleur : Robe très ambrée.
Nez : Nez de vieux Madère et de vieux Porto avec des finales de pruneau.
Bouche : La bouche est ronde et onctueuse apparaît un rancio aux notes de cannelle et de cuir.
Finale superlative !
Détails du produit
- Marque
- Grosperrin
- Degré
- 43°6
- Contenance
- 70 Cl
- Terroir
- Grande Champagne
C'est la veuve d'un ancien courtier, aujourd'hui décédé qui a vendu à Jean Grosperrin ces très vieilles Grande Champagne. Son mari, qui exerçait encore il y a une trentaine d'années, avait la réputation d'être tenace. De cette manière, il avait acquis des stocks de Cognacs qu'il achetait dans son village et les environs puis qu'il revendait ensuite aux négociants.
Sa passion portait sur les Cognacs anciens qu'il accumulait, barrique après barrique, tels des trésors. Il ne permettait même pas à sa femme, institutrice, ni même à ses enfants, jeunes puis devenus adultes, de pénétrer dans ce sanctuaire dont il gardait jalousement la clef.
Ce n'est qu'au stade ultime de sa vie, quand son fils dû prendre en main la situation, que ses proches ont découvert ce qu'il avait accumulé depuis tant d'années. Dans un chai qui était autrefois une grange ou il avait fait mettre d'épaisses portes métalliques se trouvaient environ une quinzaine de tonneaux et de fûts dans lesquels des lots de très vieux Cognacs de Grande Champagne. Chaque tonneau portait des inscriptions avec l'origine du produit, la quantité achetée, le degré, le volume et l'année de la récolte.
Mais aucune archives ! C'est à partir de ce moment que son épouse a pu profiter du commerce de ces eaux-de-vie !